De la machette à la bombache
Et en passant par la kalache
L'art du massacre organisé
S'est fort industrialisé.
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À la guerre, c'est toujours les mêmes qui se font tuer.
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Des récidivistes…
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Pourtant ils sont prévenus…
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« Je
n'ai foi ni dans le passé, ni dans le présent, ni fichtre dans l'avenir !
Je suis un très mauvais vieux. » (Gus Bofa)
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L'APÉRO
DU DIMANCHE
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Les apéros pris à la maison, c'est comme le vélo d'appartement, ça compte pas
pour ton palmarès.
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Moi, je fais du vrai vélo, dehors : de chez moi ici, cinq kms, tous les matins,
même le dimanche pour aller à la messe. Aller-retour.
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Oui mais tu te dopes, à l'église : une hostie, c'est du Bon Dieu concentré, ça
vaut les amphètes. Alors le retour, il compte pas.
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Ma femme, elle regarde la messe à la télé, mais pareil : ça compte pas dans ton
bulletin de notes pour entrer au ciel, à ta mort.
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Ils font le contrôle continu, les Saint-Pierre, ça pardonne pas.
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Sinon, faut passer le bac, à la fin : l'extrême onction, c'est le bac des
mourants.
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Les mourants, ils deviennent cons, des fois, c'est la trouille. « Si
jamais, si jamais, si jamais… y avait un enfer… tout ça… »
—
Le pari de Pascal. Si jamais y avait une vie après la mort, moi j'aime autant
me convertir, ça mange pas de pain. Mais alors au dernier moment !
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Quand tu verras qu'y a rien derrière, tu vas être déçu.
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Noël (Magali)
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